Il y a très certainement une influence cinématographique dans mes paysages. J’aime aussi penser que lorsque un spectateur regarde mes photographies, il s’interroge sur le fait que quelque chose manque.
Des années de voyage à traverser le monde, à observer, à comprendre, percevoir l’énergie d’un monde qui m’appartient et auquel j’appartiens, sur des chemins qui mènent nulle part, ont implicitement forgé la représentation de mes paysages.
(…)
Presque rien…
Madère (Portugal), 2018
Qu’est-ce que le silence?
Madère (Portugal), 2018
Les petites grenouilles plongent, l’eau se brise.
Santa Cruz de Tenerife (Espagne), 2017
Paysage troublant. Venise (Italie) 2021
L’aurore jaillit, un poisson-lune nage sur le dos.
Udaipur (Inde), 2013
Un matin au temple, soleil pâle. Bikaner (Inde), 2013
Le fleuve: ni bruit, ni silence.
Tsiribihina (Madagascar), 2016
Accrochée au garde-fou j’accompagne les nuages.
Tsiribihina (Madagascar), 2016
Une histoire de carrés . Thoune (Suisse) 2015
Sous la voie lactée, éther et sable, couleurs d’une vie…
Banc de sable de Ménagé (Madagascar), 2016
En écoutant le vent, je m’exerce au paradis.
Capbreton (France), 2016
Le petit Sakalava, le ciel bleu perd la lune…
Aux alentours de Fianarantsoa (Madagascar), 2016
L’herbe sèche des grandes plaines n’oublie pas son goût de solitude.
Sur la route d’Antanambo (Madagascar), 2016
Rien ne dit qu’il y a le chant d’un oiseau.
Sur la route de Mandawa, (Inde), 2013
Rien ne dit que le jaune est une couleur. Thoune (Suisse) 2015
De temps en temps les nuages nous sourient.
Antananarivo (Madagascar), 2016
1,2,3,soleil…
Belo-sur-Mer (Madagascar), 2016
Mnémosyne n’est pas si loin…Tonfano (Italie) 2019
Ne pense pas, la vie est brève.
Corfou (Iles Ioniennes), 2015
Chaque tirage jet d’encre ultrachrome papier Hahnemüle signé, daté, numéroté au dos de la photographie.